Cela semble une évidence, mais pourtant nous oublions parfois que ce que nous faisons de notre planète, et ce qu’elle va devenir, nous concerne tous ! L’air que nous respirons, l’eau que nous buvons et la presque totalité des objets, matériaux, aliments que nous utilisons et consommons ne sont pas des ressources inépuisables et proviennent de la nature qui nous entoure.
À terme, la perte de biodiversité que les scientifiques nous décrivent, et qui s’accentue, aura une influence considérable sur nos modes de vie. Cependant, il n’y a aucune fatalité et nous pouvons tous faire quelque chose pour y remédier. Chacun peut participer à la préservation de la biodiversité : un peu, beaucoup, passionnément ; à chacun de trouver la formule qui lui correspond le mieux et de le faire avec goût et conviction !– Great Invoicing SoftwareFastamp; Accounts Accounting Easy Cloud Online 0wNZnkX8OP
>> Une première étape : Prendre conscience
Pour préserver la biodiversité, il suffit de comprendre qu’un changement dans les comportements quotidiens de tous et surtout de chacun, selon notre personnalité, notre souhait, et nos possibilités sont nécessaires. Toutes les actions, petites ou grandes, sont importantes : des gestes quotidiens, un engagement sur des actions locales de proximité, le partage de nos convictions avec des proches, le soutien par un don, etc. Prendre conscience est une étape nécessaire pour aller vers un changement dans nos pratiques et nos modes de consommation quotidiens.
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>> Les étapes suivantes : Agir !
À Capuche Hoody Flock Sweat Dark Blue N0wOvym8n Faites passer le message
Nous profitons tous des bienfaits, services et matières premières fournies (gratuitement) par la biodiversité dont nous sommes les premiers consommateurs. Pourtant, beaucoup n’ont pas encore pris conscience de l’urgence d’agir pour lutter contre la rupture des grands équilibres naturels et la perte de biodiversité. C’est pourquoi il est primordial d’en parler autour de nous. Chaque geste pour réduire notre impact écologique compte comme en témoigne ce conte philosophique de Pierre Rabhi.
La petite histoire du colibri
Alors qu’un gigantesque incendie ravage la forêt amazonienne, les animaux assistent impuissants à la progression inexorable des flammes. Seul un minuscule colibri s’active. Il plonge dans la rivière, recueille une goutte d’eau dans son bec, va la jeter sur le brasier et recommence inlassablement.? « Colibri, tu sais que tu ne peux rien tout seul contre cet incendie, la goutte que tu jettes dans les flammes n’a aucune chance de l’éteindre ! » lui disent d’un air moqueur les autres animaux de la forêt. « Je sais », répond le colibri, « mais je fais ma part ».
La biodiversité a besoin de tous les colibris. Diffuser l’information, discuter, échanger, partager son expérience et faire sa part, notamment pour montrer l’exemple, sert à sensibiliser les autres et bien souvent les rallier à la cause. Vous êtes le meilleur ambassadeur pour démontrer à vos proches qu’agir en colibri, c’est non seulement important, mais également très enrichissant pour tous.
Adhérer à une association de protection de la natureGolani Plwukxozit Brigade Designs T Shirt Alef Idf 1JTlFKc
Le réseau associatif joue en France un rôle de veille indispensable pour la protection de la nature. Les nombreuses associations existantes mènent des actions variées et complémentaires à toutes les échelles. Certaines informent, sensibilisent, diffusent la connaissance. D’autres mènent des actions de mobilisation politique, participent aux discussions internationales lors d’échéance planétaires. Enfin, d'autres agissent directement sur le terrain, pour la préservation de la biodiversité. Le choix est vaste, vous ne pourrez que trouver une association dont vous partagez les convictions. Soutenir une association, c’est contribuer à sa légitimité et à sa reconnaissance, l’aider financièrement c’est lui donner les moyens d’agir.
Écovolontariat, devenir bénévole pour une association
Si vous avez un peu de temps libre, vous pouvez même l’offrir à votre association favorite et participer à son activité. Votre énergie, votre envie, votre passion, vos compétences, seront toujours les bienvenues. Vous aurez ainsi la satisfaction de participer à une cause d’intérêt général et de partager votre envie de changer les choses avec les autres. Enfin, vous apprendrez à connaître et à protéger de mieux en mieux la nature.
> Trouver une association de protection de la nature près de chez moi
L’écovolontariat désigne toute action associative de travail bénévole et volontaire au service de la protection de l’environnement et du développement durable. Des organismes vous proposent de participer à des missions scientifiques ou à des actions de protection de la nature sur le terrain. Vous pourrez même joindre l’agréable à l’utile (agir), en découvrant des contrées exotiques, loin des chemins touristiques, en étant immergé dans l’environnement et les coutumes locales.
:: En savoir plus
www.ecovolontaires.orgFootball 1 Chaussures B071wccvvs De Tango Ace Adidas Tr Homme 17 6byvY7fg
:: Des structures engagées
Se faire entendre
Alors que les pouvoirs publics et les hommes politiques parlent de démocratie participative et nous demandent notre avis, profitons-en pour clamer notre attachement à la biodiversité et notre implication pour la préserver. Il est important de faire entendre notre voix. N’attendez plus : donnez votre avis, rencontrez vos élus et luttez contre les décisions qui nuisent à la biodiversité !
Running Nike Fly Homme Zoom Chaussure Pour De zVMGSpqU Signer les pétitions… et les faire passer !
Les pétitions sont des moyens efficaces pour faire entendre son opinion. Le cumul des signatures donne poids et importance à un appel et permet de soutenir propositions et attentes des associations auprès des gouvernants et des élus. Grâce à Internet, nous pouvons aujourd’hui prendre la défense de l’environnement d’un simple clic grâce aux pétitions virtuelles.
Pour trouver une pétition concernant l’environnement ou la biodiversité, veillez les actualités et les liens utiles des sites des associations qui vous touchent.
:: En savoir plus
Participer aux consultations et enquêtes publiques
« La réalisation d'aménagements, d'ouvrages ou de travaux exécutés par des personnes publiques ou privées est précédée d'une enquête publique (…), lorsqu'en raison de leur nature, de leur consistance ou du caractère des zones concernées, ces opérations sont susceptibles d''affecter l'environnement. »
Code de l’environnement, alinéa I de la loi nº 2002-276 du 27 février 2002 art. 138 Journal Officiel du 28 février 2002
Chacun peut participer à une enquête, une consultation ou un débat public. Les dates des consultations publiques sont diffusées dans la presse locale, dans les médias de la commune ou la structure intercommunale (affichage, journal, site Internet) ou encore sur le site Internet de l’organisme qui porte le projet. Il peut même exister un site Internet dédié pour les grands projets d’aménagement où sont décrits le déroulement et le stade d''avancement du projet (études, phases de consultations, mise à enquête publique, etc.).
:: En savoir plus
www.vie-publique.frFootball 1 Chaussures B071wccvvs De Tango Ace Adidas Tr Homme 17 6byvY7fg
Créer un club nature ou une association
Curieux de nature ? Vous souhaitez en apprendre plus sur la nature ? Vous avez envie d’agir pour la nature près de chez vous, de partager votre passion de la nature avec d’autres ? C’est possible au sein d’un club nature CPN (Connaître et Protéger la Nature). Intégrez un club existant près de chez vous ou créez-en un !
Vous voulez savoir ce que l’on fait dans un club nature, comment rejoindre un club existant ou encore comment créer un club ?
:: En savoir plus
> Retrouvez toutes les réponses à vos questions sur le site de la FCPN
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> Créer une association de loi 1901 avec association mode d'emploi
Déposer un projet "Coup de main"
Depuis 2008, La Fondation Nature & Découvertes met à l’honneur les initiatives concrètes de terrain. Ce coup de projecteur est un signe fort que la Fondation envoie aux porteurs de projets en leur proposant une formule plus souple, plus réactive et plus accessible. Les projets "Coup de main" sont destinés à soutenir financièrement des initiatives de protection, de sensibilisation et d’éducation à l’environnement se déroulant en France métropolitaine, en Outre-mer et en Afrique francophone avec des dotations comprises entre 500 et 3 000 €.
Le dépôt de candidature est simplifié grâce au formulaire disponible en ligne sur ce site. Un comité interne tournant se réunit quatre fois par an, au fil des saisons, pour l’examen des dossiers qui sont présélectionnés en continu par Benoît Jouenne.
« Le comité a souhaité créer cette formule pour les associations ayant besoin d'un Coup de main ! Elle s’applique à des projets de terrain et porteurs d’un fort engagement. Le comité de la Fondation délègue son pouvoir de décision aux quinze réseaux verts du siège de l’entreprise. Réunis quatre fois par an, complétés d’un référent pédagogique interne, ils décident avec David Sève, directeur de la Fondation, et François Lenormand, vice-président de la Fédération des clubs Connaître et Protéger la Nature, des projets à financer. Les dossiers peuvent être déposés tout au long de l’année, ce qui rend le système très souple ! »
Benoît Jouenne
> Déposer un dossier
Adhérer au Club Nature & Découvertes
Pour participer aux activités nature et profiter des tarifs et des nombreux avantages que propose Nature & Découvertes, il suffit d’adhérer au club Nature & Découvertes (adhésion 1 an : 6 €). Capuche Sport Adidas À Femme Id Sweat vmN80ynOw
Chaque fois qu’un client adhère au Club, Nature & Découvertes reverse 1 € à sa Fondation. Ainsi, en 2008 la Fondation a soutenue, pour la première fois, la mise en place de 44 projets Coup de main. Grâce à l'engouement de nos clients pour leur club, la Fondation comptait 138 projets Coup de main à son actif à fin 2009.
> Je souhaite adhérer
>> Les gestes de la Fondation au fil des saisons
Nous n’avons pas de planète Terre de rechange ! Tentons donc de répondre à nos besoins présents sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs. Pour nous aider, la Fondation propose quelques pistes « clin d’œil » afin de faire coïncider nouveau mode de vie et pratiques de consommation durable pour faire évoluer votre comportement en faveur de la biodiversité, jour après jour !
Les gestes de l'hiver
Quelques bons gestes d'hiver, entre cocooning et grand air ! Au choix : vacances à la montagne ou chocolat chaud et crêpes Suzette au fond du canapé chez soi. Si le froid nous rend parfois malade, à chacun de trouver les remèdes naturels pour être en pleine santé. Enfin, un joli feu, quelques marrons glacés et c'est déjà Noël... un Noël naturel, qui pointe son nez, avec la nouvelle année.
Les gestes du printemps
Le printemps est la saison du renouveau, alors envie de changements ? À la maison, comme au jardin, prendre de nouvelles habitudes peut être bénéfique pour notre petite planète. Pour tout nettoyer, pensez éco... c'est logique. Vous y gagnerez, et vos voisins aussi, parce que partager, est la première des clés pour consommer... autrement.
Les gestes de l'été
L'été est source d'abondance. Soleil généreux, fruits juteux, la saison idéale pour faire le plein de vitamines et se faire du bien ! Mais les grandes étendues de sable et d'eau ne doivent pas nous faire oublier que l'été est également la période des pénuries d'eau. L'occasion de nous comporter en écocitoyens également quand nous sommes loin de chez nous !
:: Le plein de vitamines
L’été est « la » saison pour faire le plein de vitaminesMens Karrimor Lo3586 Hot Grey Rock Trousers ID9H2WE. Il y a d’abord le soleil (tout comme l’alcool, à consommer avec modération), dont les rayons permettent à la peau de synthétiser la vitamine D, mais également les fruits et légumes ! En manger régulièrement est excellent pour la santé car ils apportent vitamines, glucides et sels minéraux...
Si ces derniers sont de saison, c’est encore mieux car les primeurs proposent la plupart d’entre eux toute l'année. Mais comment cela est-il possible ? Et bien, ils sont généralement produits à l'autre bout du monde et leur acheminement jusqu’à nos assiettes contribue à la pollution de la planète, et/ou produits en serre, ce qui est néfaste d'un point de vue écologique avec un mode de production nécessitant bien souvent l'utilisation de chauffage et d'engrais (pétro-chimiques), pour un résultat peu goûteux. Respecter les rythmes naturels permet de diminuer les cultures sous serre, très énergivores, ainsi que l’utilisation de produits phyto-sanitaires. Une fraise en hiver ? Honnêtement, quelle idée… Et objectivement, comparée à nos fraises qui ont poussé en pleine terre et qui se sont gorgées de soleil… c’est même pas bon.
Manger les fruits de saison issus de sa région, c’est plus respectueux et encore meilleur. En achetant des fruits importés de l’autre bout de la planète, on consomme surtout le pétrole nécessaire pour leur transport ! Quand on apprend qu'un kilo de fraises nécessite près de 5 litres de gasoil pour arriver dans notre assiette (chauffage et engrais pour sa production + transport), ça donne carrément la nausée. D’après le WWF, un fruit importé hors saison par avion consomme 10 à 20 fois plus de pétrole que le même fruit produit localement et acheté en saison... Par ailleurs, si vous achetez des fruits et légumes de saison, vous ferez des économies. En effet, plus on s'éloigne de la saison de production, plus les prix grimpent. Encore des bonnes raisons pour consommer de saison !
Mais si vous voulez adopter la fruit’attitude variée toute l’année, en accordant une place importante aux fruits et légumes dans votre alimentation et ce hors saison, préparez conserves, compotes et confitures. Faites maison, elles sont encore meilleures ! Des provisions à consommer cette fois-ci, sans modération !
> Pour en savoir plus, téléchargez le calendrier des fruits et légumes de saison ou rendez-vous sur www.fruits-legumes.org
:: Sur la plage abandonnée
Coquillages et crustacés… Qui l'eût cru, déplorent la perte de l'été… Qui depuis s'en est allé... Bidons en plastique en provenance des côtes espagnoles, canettes de soda, vieux pneu entouré de fil de fer rouillé, flacon d’huile solaire, sandale et vieille basket perdues au milieu des tessons de bouteille : un inventaire à la Prévert des 'macro-déchets' qu’on retrouve sur les plages dont 80 % sont d’origine continentale. De taille et de résistance variables, les macro-déchets peuvent libérer des substances toxiques dans l’eau (détergents, huiles de moteur, encres, etc.) et ils sont également de véritables nids à bactéries. L’exemple des tortues qui prennent les sacs plastiques pour des méduses est bien connu (6 espèces de tortues marines sur 7 sont victimes des macro-déchets), mais s’étend malheureusement à toute la faune marine : les baleines prennent des bâches pour des calamars géants, pendant que les albatros avalent des briquets flottants alors qu’ils pensaient se régaler d’œufs… Vous comprendrez que sur la plage, aucun déchet ne doit être enfoui dans le sable (pas même les mégots, ni même les pelures de fruits qui vous semblent si naturelles). Donc, n’oubliez pas, que comme à la maison, vous devez utiliser les poubelles mises à disposition et continuer à trier vos déchets !
Certains déchets sont pourtant naturels et occupent un rôle primordial dans l’écosystème littoral. C’est le cas de la laisse de mer, composée de monticules d’algues, de coquillages, de bois flotté, d’amas de pontes et même d’éventuels cadavres d’animaux (poissons, crustacés, etc.) y compris les plumes d’oiseaux et os de seiche. Elle est un véritable habitat naturel, protégé au niveau national et européen. Elle sert de lieu de ponte et de refuge à beaucoup d’invertébrés marins. Biodégradée par les micro-organismes et les détritivores, elle fournit les ressources nutritives nécessaires au bon développement de la flore des dunes. Elle amortit aussi l’impact des vagues au pied des dunes. Malheureusement trop souvent décapée par les municipalités armées de pelleteuses, de ratisseuses et de tamiseuses soucieuses de coller au plus près des desideratas de vacanciers peu sensibilisés (37 % des usagers du littoral interrogés déclarent être prêts à changer de plage si les débris naturel n’y étaient plus ramassés), elles rendent à la nature des plages immaculées qui ne sont le reflet que de l’appauvrissement de l’écosystème et de son érosion accélérée. Seules quelques municipalités conscientes de leur rôle privilégient le ramassage manuel et se lancent dans des campagnes d’information. Alors, qu’attendons nous pour comprendre l’importance de la nature, même sur notre lieu de vacances ?
:: Promenade dans les dunes et pêche durable
Qui ne rêve pas en cette période estivale des petits plaisirs que nous procure une escapade à la plage. En passant à travers les dunes, prenez la peine de vous arrêter. Pin maritime, oyat, chardon bleu, salicorne, et immortelle des sables, entre autres, donnent l’occasion d’admirer un littoral trop souvent négligé. Écosystème fragile peuplé de nombreuses espèces, son sol mobile, salé, pauvre en eau et en éléments nutritifs accueille une végétation unique qui a su développer des trésors d’adaptabilité. Sans tous ces végétaux, dont certains sont protégés, la dune ne tiendrait tout simplement pas. Parmi les habitants des dunes : renards, lapins, et sangliers, mais aussi beaucoup d’oiseaux comme l’hirondelle des mers, le goéland argenté ou le gravelot à collier interrompu. Et bien entendu, de nombreux insectes, reptiles et amphibiens tel le hanneton foulon, le lézard vert et les petites rainettes vertes.??
Pour être un vacancier modèle et que ce patrimoine naturel perdure, suivez le guide ! Restez sur les chemins balisés, c’est mieux pour les végétaux et en plus c’est bien moins fatigant… Si vous ne pouvez vous empêcher de ramasser quelques fleurs, assurez-vous de ne pas priver le littoral d’une plante rare et laissez toujours les racines. Une envie de barbecue ? Attention, pas de feu dans les dunes ! Une brise et c’est toute la végétation de la dune qui part en fumée. Pour la même raison, gare aux mégots. Respectez les ganivelles (ces clôtures faites de petites lattes de bois, ou de filets, qui longent les dunes et interceptent le sable emporté par le vent) et le bois déposé ! Ne dévalez pas à flancs de dunes, ni à pied, ni en engin motorisé. C’est interdit, et quand on voit l’état des dunes après, on comprend pourquoi.??
Enfin, pour finir sur une touche salée : quel plaisir de déguster la pêche du jour ! Étrilles, palourdes, huîtres, patelles, bigorneaux et crevettes… Mais avant de vous lancer, renseignez-vous auprès de l’office de tourisme sur la limite de taille imposée (‘la maille’) et les périodes de pêche autorisées. Résistez à l’envie : ce n’est pas parce que vous n’avez pas pêché gros qu’il faut pêcher trop pour compenser ! Ne ramassez que ce que vous mangerez ! Bannissez les fourches et autres outils destructeurs pour la pêche à pied. De même, ne brisez pas les roches qui abritent les crabes et remettez en place celles que vous avez déplacées. Avec les plus petits, admirez les animaux en liberté5 Rock Grisphantom 635042 Hunter Low De W Randonnée Femme Texapore Basses WasserdichtChaussures Eu PZukiwXOT, et en cas de capture, sans oublier de partager avec eux la joie de les relâcher.
:: Préserver l'eau
L’été, il fait généralement chaud ! Et l’eau s’invite tout naturellement dans notre quotidien. Grand verre d’eau fraîche en rentrant de promenade, glaçons à l’apéritif, sueur sur nos fronts mais aussi piscine azur et arrosage automatique dans les champs comme au jardin… Bien que la ressource en eau ait considérablement diminué au 20e siècle, la consommation d’eau dans le monde a été multipliée par 7. Or, l’eau douce ne représente que 2,5 % du stock total d’eau sur la planète (les 97,5 % restant étant salés). Ainsi, l’eau douce est une denrée particulièrement rare… et chère ! En effet, 1,1 milliard de personnes n’ont toujours pas accès à une eau salubre et un tiers de la population mondiale est privé d’eau potable. Un déficit qui n’épargne pas les pays du nord : en France, l’été, la sécheresse frappe aussi. Économiser l’eau est donc une nécessité ! Pour ce faire, dites oui aux bains… de mer ! Mais pour vous laver, préférez la douche rapide qui ne consomme que 25 à 100 litres d’eau au lieu des 250 litres environ du bain. Mais aussi, fermez le robinet au moment de la petite toilette des dents, des mains ou lors du rasage. Installez une chasse d’eau à double commande pour les toilettes ou placez une bouteille pleine de sable ou encore une brique dans le réservoir pour économiser 1 à 2 litres à chaque remplissage de la cuvette.
Dans le même esprit, équiper sa robinetterie de réducteurs de débit, aérateurs, mitigeurs et douchettes à faible débit permet de diminuer sa consommation d’eau. Réparez les fuites d’eau : un robinet qui goutte peut représenter plusieurs milliers de litres d’eau par an. Pour être certain que rien ne fuit chez vous (pas même les toilettes !), relevez votre compteur d’eau avant de vous coucher… puis au réveil ! Si le chiffre a légèrement augmenté, c’est qu’il y a une fuite ! Partez à sa recherche ! Pour les lave-linge ou vaisselle, n’appuyez sur marche que quand l’engin est bien rempli ou alors enclenchez la touche demi-charge qui permet d’économiser presque un tiers du volume d’eau habituellement utilisé.
Mais consommer peu d’eau n’est pas le seul geste à suivre pour protéger cette ressource. Ne pas polluer les eaux souterraines est au moins aussi important.T In Fitted Shirt King Gym Wine Longline kZuwilXTOP En France, l’eau d’origine souterraine fournit 60 % de notre eau potable. Pour la préserver, préférez le bon vieux savon au gel douche, utilisez des détergents écolabellisés et des lessives sans phosphates et bien sûr, respectez les doses indiquées sur les emballages des produits ménagers. Enfin, ne jetez pas les restes de peintures, ni de solvants usagés (white-spirit, acétone...) dans les toilettes ou dans l’évier, mais apportez à la déchetterie. Les rejets de substances toxiques, même en faibles quantités, ont des conséquences irréversibles sur les écosystèmes et la biodiversité.
:: Écotourisme : voyager autrement
Avec l’essor des compagnies low cost et l’avènement des RTT, nous sommes de plus en plus nombreux à partir en vacances, et loin ! Grand bien pour certains, cette démocratisation des voyages longs courriers pour des destinations exotiques fait malheureusement payer un lourd tribut à la nature. Ce tourisme que l’on qualifie « de masse », et qui n’a malheureusement rien de durable, est nocif pour l’environnement naturel. Il est urgent de repenser notre manière de voyager afin de contribuer à l’essor et non à la destruction de la biodiversité. Les vacances les plus écolo-vertueuses consistent à randonner à vélo autour de chez soi et s’endormir sous une tente… mais pour les adeptes des voyages lointains, l’écotourisme, apparu il y a une trentaine d’année, peut être une bonne solution.
L’écotourisme, c’est l’art du voyage responsable dans les espaces naturels qui contribue à la protection de l’environnement et au bien être des populations locales. Il se pratique dans la nature, en petits groupes au sein de petites structures. Il se distingue également du tourisme de nature par son côté militant : la responsabilité vis-à-vis de l’environnement naturel et culturel et la volonté de contribuer à l’économie locale. Par exemple, la visite payante d’un parc national accompagnée par un guide autochtone rentre dans le cadre de l’écotourisme, car elle génère des revenus qui servent à employer des personnes locales et à préserver une aire protégée. La motivation de l’écotouriste est donc principalement d’observer et de comprendre la nature et les cultures traditionnelles qu’il rencontre lors de son périple. Lorsqu’il est bien géré, l’écotourisme favorise la protection des zones naturelles en procurant des avantages économiques aux communautés d’accueil et aux organismes qui veillent à la protection des zones naturelles, et en faisant prendre conscience aux habitants du pays comme aux touristes de la nécessité de préserver le capital naturel et culturel. Les destinations écotouristiques sont des milieux naturels préservés et en tout cas non pollués, présentant un grand nombre d’attraits lies à la faune, la flore, et la biodiversité en général. Alors, qu’attendons-nous pour partir ?
Les gestes de l'automne
Les feuilles mortes se ramassent à la pelle... alors profitons de la rentrée pour, cartable à la main, aller en apprendre un peu plus sur la forêt. Découvrir le bois et ses bienfaits, la forêt et ses trésors et savourer au maximum ces moments partagés en famille pour se forger mille souvenirs à se raconter, l'hiver approchant... au coin du feu.FrFemmesHommesamp; Vans Chaussures Enfants Sacs Dos À Vêtements u3F1cJTlK
:: Écolo aussi au bureau
La consommation moyenne (et démesurée) de papier au bureau est de 75 kg par personne et par an. Il est temps de faire un petit régime ! Pour commencer, apprenons à utiliser les appareils qui nous entourent. Les photocopieuses par exemple possèdent des capacités extraordinaires (fonctions recto/verso, réduction de la taille, numérisation au format PDF, etc.). Une fois ces pratiques adoptées, plus possible de s’en passer ! Pour l’imprimante, c’est pareil, mais sauf avis contraire, essayons ne plus nous en servir. Les impressions ne doivent être réservées qu'aux grandes occasions. Gardons le beau papier pour les documents et faire-part officiels et consignons nos impressions ratées (malgré tout, il y en a toujours) dans un casier brouillon. Elles serviront pour les documents de travail ou nos notes. Une recommandation, ne plus imprimer ce qui peut être lu sur l’écran (on connaît tous quelqu’un qui imprime ses mails… mais pourquoi tant de haine ?) ou utiliser du beau papier pour ce qui a pour vocation d’être jeté dans la journée. Les documents de travail n’ont pas besoin d’être imprimés sur papier glacé !
Pour décider (rameuter, amadouer, convaincre…) nos collègues, jouons au jeu de celui qui aura la poubelle papier la moins remplie. Étendons le divertissement aux autres poubelles. Faisons en parallèle le concours du dossier électronique le plus lourd (attention, seuls les fichiers de travail comptent !). Proposons un Grand Prix de classement électronique, travaillons nos arborescences, compilons, rassemblons les dossiers qui se ressemblent, qui commencent pareil (A, B, C…), qui nous ennuient, que nous avons bouclés, etc. Un disque dur bien plein et ordonné, c’est toujours mieux qu’une armoire bourrée de dossiers.
Soyons également électronique dans notre vie de tous les jours avec les e-factures que nous privilégierions tout comme les emails au courrier papier. Plus de classement, gain de temps ! Devenons à cette occasion un entrepreneur du temps gagné et partageons nos idées avec nos collaborateurs. La machine à café, lieu idéal pour échanger au sein duquel nous refuserons les gobelets plastiques. Gain d’argent ! L’occasion pour notre patron de nous offrir un mug personnalisé et qui deviendra notre associé… longue durée. Bien sûr, recyclons également tout ce qui peut l’être (cartouches d’imprimantes, cartons et emballages, papier, plastique et contenants métalliques…). Enfin, respectons les consignes données dans notre secteur d’activité pour éviter les pollutions de l’eau et de l’air liées aux produits employés.
À la fin de la journée, en sortant du bureau, pensons à éteindre lumière et ordinateurs. Ne laissons rien en veille, même pas les écrans ! Et non ça ne les abîme pas, cela permet juste de dépenser moins d’énergie et donc de protéger la planète. Et dans tous les cas, privilégions nos pieds, le vélo, le bus, le métro ou la voiture de nos collègues, pour nous rendre de chez nous vers là où nous travaillons. Chacun, à son niveau, peut participer à la préservation de la biodiversité.
:: Promenons-nous dans les bois
Promenons-nous dans les bois, … pendant que le loup n’y est pas. Si le loup y était, il nous mangerait ! Mais comme il n’y est pas, il ne nous mangera pas ! Cette comptine enfantine exprime toute la nostalgie que peut procurer une escapade forestière. Qui n’a pas en mémoire une balade en sous-bois, lorsque enfants nous revenions à la maison les bras chargés de mille présents. Car s’il est un loisir original et bon marché, c’est bien celui des promenades en forêt. Outre le bol d’air pur apporté par ces sorties, le foisonnement de biodiversité et la multitude de trésors offerts par la forêt sont autant de bonnes raisons d’y retourner !
À l’automne, la cueillette de mûres sauvages le long des sentiers permet la réalisation de délicieuses confitures « maison ». Pour une bonne confiture, faites mijoter les fruits avec leur équivalent (en poids) de sucre. Les châtaignes, que l’on fera griller, seront le prétexte à de belles fins d’après-midi auprès du feu. Attention aux mains, vous les ramasserez gantés, en n’oubliant pas que les plus grosses ne sont pas les meilleures ! Elles doivent être pleines, c’est-à-dire lourdes au toucher, brillantes et ne pas donner l'impression d'être desséchées : la coque ne doit pas être décollée du fruit et doit être exempte de trous, assurant l'absence de vers. Petite astuce : trempez vos châtaignes dans l’eau, jetez celles qui surnagent et qui sont creuses ! La châtaigne est un fruit frais très fragile, il ne faut surtout pas la laisser à la chaleur. Elle peut se conserver durant 7 à 8 jours dans le bac à légumes du réfrigérateur et même se congeler (si vous en avez trop). La récolte de champignons variés, en toute saison, sera l’occasion de réviser ses classiques ! Cèpe de Bordeaux ou bolet bleu, girolle, trompette des morts (bien meilleures que leur nom ne l’indique), pied de mouton ou pied bleu, fistuline hépatique et amanite des Césars... Tous sont comestibles… au moins une fois ! Pour être certains que ce ne sera pas la dernière, armez-vous d’un guide de détermination et à vous les espèces méconnues. Une foule d’espèces ne demandent, bien souvent, qu’à être reconnues pour être dégustées.
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Le ramassage de ces produits naturels, dons de la nature, ne doit cependant pas faire oublier le respect que l’on doit à la forêt et à ses habitants. Rester autant que possible sur les sentiers, ne pas arracher la végétation (prélever délicatement les champignons pour ne pas en altérer le mycélium resté en terre par exemple) et ne pas botter dans les espèces dites « toxiques » mais qui bien souvent ne sont que « pas identifiées ». Alors, ouvrez l’œil ! Vous allez vous régaler !
:: Le bois, c'est écologique !
Après l’ère du plastique (fantastique !), voici revenue l’ère du bois. Si nos grands-parents plébiscitaient les matériaux naturels, le bois a été peu à peu remplacé par le plastique que l’on trouvait plus hygiénique, plus pratique, mois cher et façonnable rapidement (© made in China). Mais cette matière magique a d’autres « qualités », comme celle de vieillir mal, de ne pouvoir être restauré, d’envahir les décharges publiques et d’être au cœur de polémiques de santé publique (bisphénol A en tête). Ainsi, que ce soit pour les jouets des enfants, les planches à découper, les meubles, les fenêtres et même pour la maison entière, le choix du bois mérite d’être considéré.
L’exploitation du bois forestier permet de réduire la présence de gaz à effet de serre. Utilisé dans la construction, le bois permet de fixer le CO2 définitivement. Gérée correctement, la forêt est renouvelable à l’infini. En France, elle couvre un quart de la surface du territoire, avec une progression de 30 000 nouveaux hectares chaque année. À quantité équivalente, la production de bois consomme 4 fois moins d’énergie que la fabrication du béton et 60 fois moins que celle de l’acier. Le bois est un matériau biodégradable, facilement recyclable, et la chaleur dégagée lorsqu’on l’incinère génère une grande quantité d’énergie exploitable. Transformer le bois est donc économique et écologique.
Et puis, le bois présente un large éventail de déclinaisons : brut ou naturel, ciré, lazuré ou encore peint (avec des produits labellisés bien entendu) pour l’intérieur, il peut également être traité pour l’extérieur afin d’améliorer sa résistance aux champignons et aux insectes, et augmenter sa durée de vie. Mais attention au choix des bois traités : beaucoup contiennent des produits nocifs pour l’environnement, notamment des métaux. L’oléothermie est un traitement alternatif prometteur. Le bois est chauffé à moins de 160°C pour évaporer l’eau puis imprégné d’huile végétale (lin, huile essentielle, etc.) et d’adjuvants naturels. 18 Essentials Reebok NoirFrance Cm Short Running wv0N8nmOLe bois rétifié est, quant à lui, une alternative écologique aux bois tropicaux. La rétification consiste à chauffer progressivement le bois, sous atmosphère inerte jusqu’à une température seuil à partir de laquelle se produit un réarrangement des molécules pour obtenir un bois plus résistant et plus stable. Certes un peu plus cher que le même bois non traité mais, à utilisation équivalente, moins cher qu’un bois tropical et à l’impact écologique beaucoup moins important.
Qu’il soit d’ici ou des tropiques, si le bois acheté est labellisé, c’est encore mieux ! Il existe de nombreux labels relatifs à la filière bois. Deux d'entre eux remportent les suffrages : le label FSC (Forest Stewardship Council) et le label PEFC (Pan European Forest Certification) - Programme Européen des Forêts Certifiées. Ils garantissent que le bois est issu de forêts qui sont gérées durablement en fonction de règles définies précisément région par région. Alors, privilégier le bois quand c’est possible, c’est bien. Et si en plus il est du coin et labellisé, c’est encore mieux ! Allez, encore un petit coup de cire et ce sera comme neuf !
:: Pour vos déplacements, bougez écolo
Bien qu’indispensables, les transports engendrent dégradation et pollution de l’environnement ainsi que l’épuisement des ressources naturelles non renouvelables. Émission de gaz (particules fines, plomb, oxydes d’azote et de souffre, composés organiques volatiles), aux effets néfastes pour l’environnement, la santé et le climat (gaz à effet de serre), nuisances sonores et occupation des sols sont des préoccupations grandissantes. Depuis 1900, les concentrations de gaz à effet de serre ont augmenté de 50 % provoquant un réchauffement de la planète de 0,6° C. Le secteur des transports représente 25 % de la consommation mondiale d’énergie commerciale et utilise la moitié du pétrole produit dans le monde.
Alors, pour ne pas contribuer à cette hérésie, lors de vos déplacements quotidiens, privilégiez les transports en commun, le vélo, le roller, la trottinette ou la marche à pied, surtout pour les courts trajets en ville. En plus d’être bons pour la santé, ces moyens de déplacements sportifs nous font gagner le temps des embouteillages et des recherches de stationnement (parfois 50 % du temps de transport !). Pour les accrocs à la voiture (et pour ceux qui n’ont pas le choix), démarrer en douceur permet d’éviter la surconsommation coûteuse et les rejets polluants trop importants. Conduire tout en souplesse, représente également plus de 40 % d’économie d’essence et de rejets d’émissions polluantes. Bien entendu, respecter les limitations de vitesse, réduit aussi la pollution. Pensez également à faire contrôler régulièrement votre véhicule (filtre à air et le pot d’échappement), une voiture bien réglée représente 20 % de pollution en moins et 10 % de carburant économisé.
Pour continuer à faire des économies, proposez à vos voisins ou à vos collègues de « covoiturer ». Au-delà de la diminution de la pollution, le covoiturage divise les frais de déplacements tout en favorisant les rencontres. On sait que d’ici 2050, pour limiter l’impact humain sur le climat, tous les hommes devront se limiter à 500 kg d’équivalent de CO2 par an pour leur déplacement, soit un aller-retour Paris-New York ou 10 000 km en voiture. Le défi actuel est donc bien de faire évoluer les pratiques de chaque citoyen vers des modes de déplacements plus respectueux de l’environnement.
:: Transmettre aux générations futures
S’il est un geste qui peut se démultiplier et dont l’effet peut dépasser les papillons, c’est bien celui de la transmission. Avec l’arrivée de leur premier enfant, de nombreux jeunes parents se rendent compte de la fragilité de la planète et de la nécessité de garder en bonne santé la Terre sur laquelle leur nouveau-né va évoluer. Cette prise de conscience, dictée par le souhait de protéger ce que l’on a de plus cher, donne l’opportunité à tous ceux qui œuvrent pour la protection de la nature de faire passer les messages pour la préserver.
Alors, si les médias sont multiples pour se renseigner sur les gestes à suivre, si de nombreuses structures travaillent à la connaissance du bienfait des changements de comportement, il n’en reste pas moins que la prise de conscience ne peut être qu’individuelle. Cette démarche personnelle est un élan du cœur, qui, pour être porteur et avoir un devenir, se doit d’être partagé.
Une fois l’intime conviction de la nécessité de changement acquise (le pourquoi est facile à comprendre, il suffit ensuite de passer aux actes), la première étape est la recherche d’informations pour arriver à ses fins (aujourd’hui de nombreuses sources existent, c’est le bon côté de la mode écolo !), mais le partage peut contribuer à l’épanouissement de ses idées ! Le « bouche à oreilles » et la discussion entre amis de l’expérience acquise sont les moyens les plus courus pour diffuser de manière efficace son savoir, transmettre son message et son plaisir de redécouvrir la nature sous un autre aspect.
Quelque soit le déclencheur, « chanter la Terre », peut se faire à n’importe quel instant, il n’est jamais trop tard. Ne doutons pas que chaque petite contribution puisse faire évoluer le monde. Les milliards de gouttes d’eau font bien les océans. Et comme le colibri… faire sa part et le partager, permet de soulever des montagnes. Patience néanmoins, si faire son premier pas peut sembler facile, convaincre ses proches peut être plus long. Mais tout arrive !